« Je ne me rappelle plus la première nuit avec le ‘mari’ que l’on m’a choisi, ni les rapports sexuels. S’il vous plaît, épargnez-moi les questions sur ce point, je ne veux pas m’en rappeler », dit la jeune femme au quotidien.
« Je voyais l’homme seulement le soir quand il venait me chercher pour me prendre. Je ne connaissais même pas son nom, il ne me parlait pas ».
Une fois libérée, elle a « retiré le long hidjab et [elle a] demandé à ce qu’on le brûle. Il me rappelait trop mon calvaire. Je voulais me débarrasser du mal. »